Nous ouvrons là un ABRI. Pour que vous vous sentiez bien, bienvenus, à tout moment où les cieux sur nos têtes se couvrent de nuées, de menaces.
Un banquet pour l’esprit humain, si on peut dire.
Diotime de Mantinée, Ibn Arabi, Confucius, Tolstoï, Emmanuel Kant, Montaigne, Plutarque, Sénèque, Spinoza, Einstein, George Orwell…
…Michael Moore, Maud Fontenoy, Beatie Deutsch, Himoud Brahimi, Fauja Singh, Martin Luther King, Thich Nhat Hanh, the Dalai Lama, Jimmy Wales… sont nos hôtes permanents. Ils sont là avec nous, pour nous réconforter, nous renforcer, répandre leurs Lumières.
N’ayez craintes, laissez tomber tout orgueil : ce qu’ils partagent avec nous est simple, sympa.
Il faut bien l’admettre : on ne peut tout simplement pas s’en sortir seul par soi-même. On a besoin d’aide. D’un espace, pour esprit ouvert.
Souvent, quand les choses tournent de travers, et Dieu sait que cela arrive maintes et maintes fois, en raison des bouleversements climatiques, inondations, sécheresses, incendies, perturbations et corruption politiques, guerres… on voudrait pouvoir trouver quelque part un refuge, qui offre sens et clarté, clairvoyance.
C’est ce que nous efforçons de créer ici.
En France, hélas, les visages de Dominique Bernard, Samuel Paty, et Jacques Hamel, nous sont connus. Avec ceux de Cabu, Wolinski, Honoré, Maris… assassinés le 7 janvier 2015 dans les locaux de Charlie Hebdo à Paris. Nous n’oublions pas. Nous n’oublions pas les autres, qui sont restés inconnus, anonymes. Et toutes celles, tous ceux, qui ont survécu, et portent les séquelles, physiques ou mémorielles, d’une violence qui leur était étrangère.
La réponse de Martin Luther King à cette situation : “J’ai pris la décision de combattre pour ma philosophie. Il faut croire en quelque chose en cette vie, et y croire avec une telle ferveur que vous allez vous dresser pour ça jusqu’à la fin de vos jours. Je ne peux parvenir à penser que Dieu veut que j’aie la haine en moi. J’en ai assez de la violence. Et je ne vais pas laisser mon oppresseur me dicter quelle méthode je dois employer.”
La réponse de Spinoza : “La paix n’est pas une absence de guerre. C’est une vertu, un état d’esprit, une disposition à la bienveillance, à la confiance, à la justice.”